carnaval
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Danser sur un cadavre
Bruno Retailleau a condamné, si j’en crois les infos du jour, les farandoles, distributions de champagne, feux d’artifices ou manifestations de la joie publique (venant notamment de communautés LGBT) provoqués…
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Aragon/Kundera, profession romanciers
Ouvrons Les Testaments trahis de Milan Kundera à la page 185-186 de l’édition Folio (plusieurs nécrologies ont relevé ce passage) : « J’ai fini par avoir ces dialogues étranges : ‘Vous êtes…
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Aragon carnavalesque (2)
Je publie donc ici, en vue de la journée du 2 avril à l’ENS, une première partie de la conférence que j’y prononcerai sous le titre « Aragon carnavalesque ». Un. Quel…
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La manifestation à l’assaut de la représentation (3)
Dans ce troisième billet inséré par déférence envers le programme des agrégatifs, « la représentation », l’on soutient qu’il est essentiel, pour penser celle-ci, de l’opposer à la manifestation. Mais…
À propos de ce blog
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Ce blog pour y consigner mes impressions de lecteur, de spectateur et de « citoyen concerné ». Souvent ému par des œuvres ou des auteurs qui passent inaperçus, ou que j’aurai plaisir à défendre ; assez souvent aussi indigné par le bruit médiatique entretenu autour d’œuvres médiocres, ou de baudruches que je…
À propos de l’auteur
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Daniel Bougnoux, professeur émérite à l’Université Stendhal de Grenoble, est ancien élève de l’ENS et agrégé de philosophie. Il a enseigné la littérature, puis les sciences de la communication, disciplines dans lesquelles il a publié une douzaine d’ouvrages.
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Chers amis Daniel et J-F, j’essaye de vous comprendre. Je ne cours pas pour aller voir ce film mais si…
Je courre aller voir ce film qui m’a l’air bien divertissant. Bravo pour la fiction et les nuits fauves de…
Oui cher JFR, j’approuve ta saine colère ! Mais as-tu vu le film ? Ce qui m’a retenu pour en…
Magnifique Le Revizor, Madame Anetchka. Ou comment la machine publique extorque les pauvres gens. On comprend, grâce à vous, et…
Véridique, Madame Alicia, il existe bel et bien une empreinte sarrazine en mon village perché : les ruines d’un Château…